Domination et soumission

La domination et soumission (D&S, DS ou D/S), est un jeu de comportements et de désirs entre un dominant et une soumise ou une dominatrice et un soumis. Il peut être intensément physique ou sans contact physique mais par téléphone, email ou autre système de messagerie. Comme le cas d’une maitresse dominatrice paris qui en offre le service. L’un comme l’autre, les partenaires prennent plaisir à leur jeu de rôle.

Description

Le jeu de D/S doit être consenti des deux partenaires. Il est basé sur la confiance, la communication et un respect mutuel où les deux peuvent s’explorer émotionnellement dans la limite du maximum. Il est établit d’avance un code de sécurité ou safeword pour prévenir tout geste susceptible de dépasser l’acceptation du partenaire dominé. Lorsque le dominé sent que cela va trop loin, il dit le safeword et le dominant devra immédiatement cesser toute activité. Il s’exécute librement, peut être sexuel ou non, à long terme ou à court terme, et intime ou anonyme entre les deux. Les protagonistes cherchent surtout une intensité essentielle, une confiance et une intimité profonde dans leur relation aussi sincère et consentante que possible. Pour démontrer leur statut et leur engagement, la plupart des dominés portent un collier de cuir ou de métal, ou des colliers de chiens.

Il existe plusieurs styles de relations D/S : une chasteté imposée au soumis, une humiliation verbale que érotique, une soumission fétichiste, une déshumanisation ou objectification, une servitude domestique ou esclavage consensuel, un travestissement. Lors de la pratique, ces styles peuvent se combiner et l’action peut se faire entres bisexes ou unisexes. De même le jeu de rôle peut s’inverser selon le choix des partenaires. Aujourd’hui la femme domine, demain ce sera le tour de l’homme.

Risques associés à la D/S

Plus dans le domaine d’une activité mentale, il existe quelques facteurs de troubles de santé mentale associés à la D/S. Voici quelques exemples : partenaire dominant physiquement et mentalement abusif, soumis auto-insatisfait, partenaire dominant violant la confiance de la relation et tente de garder le soumis hors de la société, soumis manipulés (soumission morale)…
Cependant, une étude a aussi montré que les pratiquants du BDSM sont plus sain mentalement que celles pratiquant une sexualité classique : plus ouverts aux nouvelles expériences, plus extravertis, moins névrosés, avec un niveau de bien être élevé. Mais encore, ont exprimé des sentiments d’attachement et de confiance plus surs dans leurs relations.

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